
Au cœur de la jungle épaisse du Petén, là où les pyramides mayas percent la canopée comme par exemple des aiguilles en pierre, un clergyman appelé Itzamna passait ses journées et ses nuits dans le sanctuaire du feu secret. Ce pixels, interdit aux jeune, renfermait un artefact que lui abandonné avait rempli : un outil étrange, buriné dans un bloc d’obsidienne poli, capable d’amplifier les murmures des anciens. Il l’appelait le « combiné de l’ombre », bien qu’aucun mot ne soit capable de effectivement inscrire sa personnalité. Il s’agissait d’un pont, d’un conduit, d’un barrière entre le monde des vivants et celui des disparus. La voyance qu’il y recevait ne ressemblait à aucune autre. Chaque nuit, au dessus du temple, tandis que les étoiles dessinaient des couleurs réputés rien que des prêtres-astrologues, Itzamna activait l’objet. Il plaçait l’oreille avoisinant la cavité black, murmurait un thème précis rituelle, puis attendait que la diamant parle. Le connaissance ne venait pas extraordinairement, mais lorsqu’il surgissait, il offrait avec lui des guidances si précises, si lointaines, qu’elles défiaient l’entendement. Ces emblèmes d’un avenir inimaginable, remplies de métal, de cieux déchirés et de allées perpétuellement, bouleversaient les menstruation sacrées de l’Empire. Il nota n'importe quel pics dans un codex qu’il comparait aux foule, enrôlant la voyance au mouvement divin tels que l’enseignaient les personnes nées après guerre écrits. Convaincu que ces visions devaient sembler partagées, Itzamna grava des allégories prophétiques dans les murs de son sanctuaire. Il y inscrivit des épisodes inconnus de son ère, rappelant des âges où les hommes et les femmes oublieraient le ciel et inventeraient leurs propres étoiles. Il rédigea sur des peaux de cerf des enseignements qu’il conserva dans un coffre en pierre, en tant qu' un blog voyance et astrologie destiné aux prêtres du destin. Mais dans la grande ville, on se méfiait. Les distincts prêtres, guidés par des règles millénaires, refusaient d’entendre joindre d’un futur qui dépasserait le éphéméride sacré. Pour eux, la voyance ne devait arriver que les ères terrestres, les récoltes, les éclipses et les guerres prévisibles. L’idée qu’un libre pasteur soit à même de aimer le âme du lointain paraissait sacrilège. Itzamna comprit que le combiné d’obsidienne n’était pas un domaine pour son générations. Il était une invitation élan via le temps, favorable à ceux qui sauraient, un moment, décrypter dans les étoiles et dans la gemme avec le même regard.
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